ARTICLE | 24/08/2019 | Alberto Navarro
Benzema a montré le chemin des la victoire aux Blancs, avant que Guardiola n'égalise.- La Liga
- Journée 2
- sam., 24 août


La première action dangereuse est donc à mettre à l'actif des Blancs au quart d'heure de jeu. Le centre de James trouve Bale, lancé en pleine surface, qui enchaîne par un extérieur qui flirte avec le poteau (13'). Sept minutes et un corner joué entre Marcelo et Kroos plus tard, James enroule une frappe qui esquive pour quelques centimètres la cage adverse. Côté occasion pour Valladolid, seul Óscar Plano s'essaye sans succès.
De l'action et des occasions
Les deux opportunités suivantes restent propriété du Real Madrid, avec autant de coups de tête. Celui de Benzema, d'abord, tutoie la lucarne des visiteurs (24'), quant à celui de Bale, il termine sa course dans les gants de Masip (34'). Avant la pause, James, d'une frappe lointaine (36'), puis Benzema, sans angle (38'), tentent bien de faire sauter le verrou de l'adversaire: sans réussite.
BENZEMA A MARQUÉ LORS DES DEUX PREMIÈRES JOURNÉES DE LIGA.
Le passage par les vestiaires ne transforme en rien le match. Le Real Madrid continue de dominer outrageusement en récupérant toujours aussi vite le cuir. Toujours sur le même schéma de jeu, Valladolid reste enfermé dans son camp. Les occasions, elles, restent à mettre au crédit des Madridistas, comme lorsque Marcelo trouve Bale, dont la tête manque d'un rien le cadre. Zidane décide alors de faire entrer Vinicius Jr. et Jović en lieu et place de James et Isco. C'est d'ailleurs le Serbe qui se montre dangereux sur sa première touche de balle. Sur une différence en vitesse et un centre de Bale, il envoie, de la tête, le ballon se fracasser sur le montant (70').
Un Benzema génial
Le but ne semble qu'une question de temps. Mais le temps, justement, commence à manquer. Et ce jusqu'à ce que Benzema invente un but, un chef d'oeuvre dont il a le secret en deux touches de balle. D'abord, servi par Varane, il s'emmène le ballon, dos au dos et en bord de surface, puis enchaîne par une frappe ajustée sur laquelle Masip ne peut rien faire. Et alors que les trois points sont sur le point de tomber dans l'escarcelle madridista, le Bernabéu assiste, médusé, à l'égalisation de Sergi Guardiola (88') et voit s'envoler les trois points.