INFORMATION | 28/10/2018 | Alberto Navarro (Barcelone)
"Le troisième but a tué nos dernières illusions. Ensuite, la peine a été excessive", a ajouté l'entraîneur."Nous nous sommes mis dans le match et nous n'avons rien pu faire. Au final, nous avons été malchanceux et blessés. Le troisième but a tué nos dernières illusions et ensuite la peine a été excessive car le match s'est ouvert et ils ont été plus efficaces".
Le résultat lourd
"Le résultat ne reflète pas le match, mais il est ainsi. En première période, nous avons eu des occasions, mais le penalty nous a fait beaucoup de mal. En seconde, nous avons touché le montant et eu beaucoup d'actions. Nous aurions dû avoir plus le ballon et les faire plus courir. Avec le 3-1, le match a été terminé".
L'état mental
"Je suis triste et c'est un coup dur, mais nous sommes en octobre et j'ai des forces pour penser que cette situation peut être inversée et j'ai confiance en ce groupe. Peu à peu, les joueurs retrouvent leur forme et nous avons également eu de nombreux blessés. Je peux sans aucun doute continuer à diriger ce groupe".
NOUS DEVONS NOUS RELEVER, Y CROIRE ET INSISTER. IL N'Y A PAS D'AUTRE SOLUTION.
"La dernière responsabilité revient toujours à l'entraîneur, mais ici nous perdons et gagnons tous ensemble. Je continue à penser que l'on est sur le bon chemin et que, malgré que ce soit un jour très triste, je suis convaincu que la seconde phase de cette équipe sera meilleure que la première".
Se relever moralement
"Le manque d'efficacité dans beaucoup de matchs nous a fait du mal. Nous devons nous relever, y croire et insister. Il n'y a pas d'autre solution. La seule chose que j'ai en tête, c'est de relever le moral de mes joueurs".
La confiance en l'équipe
"Au début de la seconde mi-temps, nous avions le match sous contrôle. Mais, si l'on n'est pas efficace et on ne profite pas de nos occasions, l'adversaire en profite. Je n'ai aucun reproche à faire à personne. Je crois en ce groupe et en cette équipe. Désormais, nous sommes tous tristes, mais j'aimerai voir ce qui se passera en avril ou en mai. Je veux qu'ils y croient. Dans ce dernier mot, il nous est arrivé de tout. Je suis persuadé que cette équipe va montrer un autre visage, comme elle l'a fait aujourd'hui par moments".
Un licenciement qu'il comprendrait ?
"Ce n'est pas moi qui prend la décision. Et j'ai déjà dit ce que je ressentais et, à partir de là, c'est à d'autres de jouer".